S'identifier - Contact

Archive : tous les articles


VOYOUS UN JOUR... VOYOUS TOUJOURS...

Lettre ouverte à Jean-Paul SAISON - Interview de Bruce Monnier et Jean-Paul Saison, dirigeant de GDE. - Une information judiciaire pour travail dissimulé et escroquerie a été ouverte en juin au Mans. En cause, les pratiques de la société GDE

• 3 commentaires  • Lu 4308 fois • Version imprimable



La Ferrière Béchet le 3 avril 2014

Voyous toujours…

Lettre ouverte à Jean-Paul SAISON

GDE RECYCLAGE
Route de Lorguichon
14540 - ROCQUANCOURT

Après :
  • les dépôts illégaux de déchets dangereux dans le Calvados…
  • des déversements d’acides et de boues toxiques dans les galeries de mine aboutissant dans le fleuve Orne en amont de la station de pompage de Caen à May sur Orne…
  • des rejets de gaz toxiques autour de leurs broyeurs, empestant les riverains…
  • avoir obtenu des autorités l’autorisation de rejeter des dioxines et des furanes sans captage… en mépris des lois…
  • avoir pratiqué la fraude massive à la TGAP…
  • l’importation de déchets hors plans départementaux, pour les enfouir illégalement…
  • des stockages de déchets illégaux, dans des volumes contrevenants sur le site de Rocquancourt…
  • des menaces de procès contre les associations qui dénoncent leurs pratiques…
  • avoir, sous le nez des commissions d’enquêtes, de Nonant et de Plouray, broyé des véhicules non dépollués…
  • avoir faites travailler des gens au noir…
  • avoir recelé des métaux volés sur nombre de vos sites…
  • avoir sur votre site de Nonant le Pin déplacé des piézomètres et créé une entrée secondaire illégale…
  • la presse nationale fait état que certains des vôtres étiez mis en examen pour fraudes en bande organisée, pour sous facturations des poids de ferraille et métaux collectés sur vos sites et chez vos clients…

Et voilà que des courriers vous dénoncent pour surfacturation des déchets collectés en entreprise et près des collectivités territoriales, l’info est crédible et vérifiée, nous en avons informé les différents procureurs de la République du siège judiciaire de vos clients potentiellement lésés.

Vos prestigieux avocats vont avoir du pain sur la planche, dans les mois qui viennent. Ce sera autre tâche que de surfer avec effets de manche sur la prescription des faits dans l’affaire dite de dépôts de déchets non dangereux sur des sites non autorisés audiencée à Caen le 13 Mars dernier. Cette prescription n’est due qu’à la surprenante somnolence de l’ancien procureur de Caen, malgré nos coups de clairon répétés pour le réveiller.

Pour finir sur cette affaire, nous redemanderons la requalification des faits en « escroqueries en bande organisée ». D’autant que d’ici septembre, comme nous l’avons promis à votre avocat le jour de l’audience, nous allons reprendre notre baguette de sourcier pour caractériser d’autres sites de dépôts sauvages…


Revenons aux nuages judiciaires qui risquent d’assombrir l’horizon vert pomme de GDE, pendant que les émanations toxiques de vos broyeurs continuent d’intoxiquer les riverains.

Deux plaintes pour infractions au Code de l’Environnement et violation des prescriptions ministérielles et préfectorales ont été déposées le 27 mars 2014 près du parquet de METZ, une concernant METZ et une autre à SAULNES (54). Ainsi les mauvaises manières perdureraient, il sera désormais difficile au secrétaire général d’Ecore, Bruno le Sech rebaptisé sur son blog : « manager de crise en milieu industriel » et à son service de presse d’invoquer un cas isolé, il va devoir ramer notre breton…

Il convient de se pencher un temps sur les acquisitions récentes de GDE-ECORE. Deux entreprises METALIFER et RECYLUX sont dans l’espace transfrontalier Luxembourg-Belgique-France.

Deux sites SAULNES et HERSERANGE communiquent par une route empruntée aux grand dam des associations par les camions d’ECORE–GDE. Ce site est à une portée de fusil du Luxembourg où GDE possède un site à RODANGE, et à deux de la frontière belge où GDE possède un autre site à AUBANGE. Les mêmes camions d’ECORE-GDE sillonnent les routes empruntées par les transfrontaliers.

Nous n’oserions imaginer un transit illégal de déchets qui au final pourraient trouver un exutoire à… NONANT le PIN dans l’Orne où GDE fait un forcing acharné pour ouvrir ce site… On peut tout imaginer, plagiant la phrase célèbre d’Audiard, il nous plaît de rappeler que: « les C… çà ose tout, c’est même à çà qu’on les reconnaît » ; il suffira de remplacer C… par voyous…

La profession de foi : « maximalisation des profits, mutualisation des risques» claironnée par Don Claude DAUPHIN1 le parrain de cette « onorata societa », remplira-t-elle un jour les geôles de France et de Navarre ?... A moins que le « légionné d’honneur » et nonobstant patron visionnaire ne leur ait conseillé d’anticiper une modification de la loi sur le transit international de déchets concoctée par la Commission Européenne, ce qui autoriserait désormais la sortie du statut de déchet de ces matières devenues premières… et c’est en cours…



TRAFIGURA a des bureaux dans 70 pays dans le monde, des comptes bancaires dans nombre de paradis fiscaux, aurait elle des strapontins de lobbyistes à la Communauté Européenne?...


Puisqu’.on ne peut choisir la date et l’heure de sa fin, j’en choisis le lieu, que ce soit sur la montagne de refus de broyage qui stationne encore illégalement à Rocquancourt…

Dans l’attente de cette heure fatale (il n’y a pas d’urgence, ne vous pressez pas…), veuillez agréer, messieurs les voyous, l’expression de mon profond mépris.


René HAMEL (par autorisation du bureau d’OREEAT)



1 cette tournure est utilisée à dessein, l’emprise stratégique de cette hydre planétaire s’apparente à celle de la Mafia, d’ailleurs, l’ex dirigeant de GDE toujours président du conseil de surveillance, Jean Paul Saison devant témoins, en conversation privée, a évoqué un « contrat qu’on ferait bien aux manouches, pour faire la peau d’Hamel, rendez vous compte, il nous a déjà coûté six millions d’€uro »…




Un communiqué de GDE-ECORE, premier prix de vertu

Enfin les deux dirigeants de GDE communiquent : l’ancien Jean-Paul SAISON, et le nouveau Bruce MONNIER, toujours avec les mêmes contre-vérités. A l’Oreeat, nous allons reprendre leur texte et le commenter ; les passages en gras et italiques sont de notre production et de notre responsabilité.

OF du 4 Février 2013
Bruce Monnier et Jean-Paul Saison, président du directoire de GDE et président du conseil de surveillance.

OF : Vous vous exprimez pour la première fois. Pourquoi ?

Parce que la communication n'avait pas lieu d'être avant épuisement des aspects légaux liés aux autorisations d'ouverture de notre centre de stockage de déchets non dangereux.

« Des procédures judiciaires sont encore en cours, ce qui n’a pas empêché GDE de mettre 700 tonnes de déchets à Nonant le Pin »

Maintenant, pour nous, l'instruction de ce dossier engagée depuis 2006 est arrivée à son terme d'un point de vue administratif et technique. Le temps est venu de rétablir certaines vérités.

C'est-à-dire ?

Nous sommes présentés comme les hors-la-loi. Or, ce sont les personnes qui bloquent l'accès au site qui sont dans l'illégalité. L'inspection finale des services de l'État du 12 septembre nous a donné le feu vert pour l'ouverture :

« Vous êtes bien des hors la loi, dans certaines de vos activités historiques, vous avez reconnu le déversement de déchets dangereux déposés illégalement chez des tiers, vous broyez des véhicules sans dépollution, vous faites travailler des gens au noir, vous recelez des métaux volés, souhaiteriez-vous une liste exhaustive de vos pratiques illégales, elle serait longue, et  nous aurions peine à la réaliser ?… Quant aux inspecteurs des services de l’Etat, dont vous invoquez le feu vert, avouez que depuis une dizaine d’années, ils souffrent d’une certaine cécité à votre endroit, derniers exemples en date : sur Nonant le Pin, ont-ils vu un mur anti-incendie le long de la voie ferrée comme il est prescrit ?... Cette DREAL n’a pas vu non plus cette entrée secondaire illégale sur votre site à partir du golfe des Bruyères qui pourrait autoriser des entrées de déchets autrement que par l’entrée réglementaire. Sans faire de procès d’intention, ces tonnages éventuellement illégaux permettraient une confidentialisation des dépôts. L’actualité judiciaire récente atteste de pratiques en bande organisée qui peut légitimement susciter des interrogations. Et malgré cela, la DREAL a donné le feu vert  pour l’ouverture ! ».

On nous empêche de fonctionner alors que nous sommes une filière de recyclage qui contribue à l'amélioration de l'environnement.

« Cela dépend où : pas à Limay, ni à Salaise-sur-Sanne, ni à Rocquancourt, ni à Montoir-de-Bretagne, ni à Evans, ni à Soumont-St-Quentin, ni à Versainville, ni à May-sur-Orne, ni à Fontenay-le-Pesnel, ni à Fresnay-le-Puceux… la liste est longue… ».

C'est très paradoxal, surtout que des représentants du ministère de l'environnement nous ont dit que nous avions très bien fait les choses en allant d'ailleurs au-delà des prescriptions légales.

« Vous évoquez toujours les mêmes malvoyants de la DRIRE-DREAL ?… »

Pourquoi ne pas attendre le résultat des expertises complémentaires ?

On nous demandera toujours des expertises. Et nous ne pouvons pas décaler indéfiniment son exploitation parce qu'il y a un aspect économique derrière tout cela.

« Comme dit le boss de TRAFIGURA-ECORE-GDE, maximalisation des profits, mutualisation des risques (de Claude DAUPHIN brillant rédacteur du Guide parfait des paradis fiscaux) ».

Les demandes d'expertises ne sont pas suspensives, nous avions l'autorisation. Nous avons donc démarré.

« Des piézomètres ont été déplacés, l’expert nommé par le tribunal d’instance d’Argentan a prérogative pour jauger de la présence ou non d’une barrière passive efficace sous le casier, GDE a mis 700 tonnes de déchets consciencieusement régalées sur le fond du casier interdisant une prospection intra casier. Il y a volonté d’entraver la mission de l’expert. D’autant que nous affirmons que le casier est situé sur une nappe sub-affleurant, donc que la barrière passive est inopérante ».

Mais pourquoi avoir fait appel de la demande de nouvelles expertises ?

Il faut quand même que ça s'arrête un jour ! Sinon ça va durer encore combien de temps ?

Cela peut donner le sentiment que vous avez quelque chose à cacher ou à vous reprocher...

Au contraire. Nous sommes confiants sur ce qui va se passer. Toutes les expertises, réalisées par des cabinets et organismes indépendants de GDE, ont abouti à des conclusions positives en faveur de notre site. En particulier celles réalisées par l'établissement public du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) et la société Burgeap, spécialisée en environnement. 

« Le BRGM a omis de consulter ses propres documents à savoir la carte des remontées de nappe éditée par ses services (www.inondationsnappes.fr) la simple lecture montre que le casier est situé à l’aplomb exact d’une nappe sub-affleurant. Quant à BURGEAP, c’est cette société commise pour définir la pollution causée par les déchets transportés à Abidjan par TRAFIGURA qui a fait 17 morts et intoxiquée plusieurs dizaines de milliers d’autres, BURGEAP a conclu que ce n’étaient pas les déchets qui auraient causé la mort, mais une démoustication de la lagune, et une pollution récurrente. Curieux que ces pauvres soient morts justement après de déversement des déchets, et que Claude DAUPHIN et TRAFIGURA aient déboursé 300.000.000 $ USD pour solder l’affaire. Dans le monde fermé des cabinets on a coutume de dire : Qui commande paie, mais aussi qui paie, commande ».

Les opposants vous ont reproché de ne pas communiquer certains documents...

Mais leur accès est public. Et tout le monde doit comprendre que nous n'avons aucun intérêt à retarder les opérations d'expertises tout simplement parce que plus vite elles seront réalisées, plus vite nous serons tranquilles.

Vous vivez le blocage de votre site comment ?

Avec un sentiment d'injustice et d'illégalité non réprimandée. C'est vraiment gênant et dommageable pour l'activité de notre société. Ce site est notre tout premier centre d'enfouissement en France. Nous procédons à tous les recours légaux, notamment auprès du tribunal de grande instance, pour faire cesser ce blocus. Nous attendons nous aussi des décisions. Nous sommes obligés de livrer les déchets chez nos concurrents. Qui va payer l'addition ? L'État, les associations ?

« Ce site est votre premier site en France dites-vous et c’est une des rares vérités de votre communiqué ; aucun retour d’expérience sur un enfouissement unique en Europe, donc pas de recul industriel sur la technologie, pas de capacité technique en interne, une propension à s’affranchir des lois et décrets encadrant vos activités historiques rend pertinent l’envoi des déchets chez des tiers qui assureront un contrôle qui confié à votre autorité pourrait, aux vues de vos pratiques, être sujet à caution. Quant aux refus de broyage, vous les stockez actuellement à Rocquancourt, dans des volumes illégaux mettant en péril la santé des riverains ».

Quel est le montant de votre préjudice journalier ?

Financièrement, cela nous coûte beaucoup. Difficile d'avancer un chiffre précis mais cela se monte à plusieurs dizaines de milliers d'euros par jour. Il y a aussi les effets induits, notamment pour l'emploi. On se réserve le droit de faire des réclamations en termes d'impact sur notre image par exemple.

Contre qui ?

Il y aura des demandes d'indemnités significatives auprès de tous les gens qui auront participé directement ou indirectement au fait que le droit n'est pas respecté. Y compris en direction de l'État qui n'a pas engagé les moyens pour mettre fin à cette occupation illégale.

« À l’OREEAT, nous avouons avoir participé depuis sept ans à ternir l’image de l’entreprise, il suffit d’aller sur notre site voir la liste des mauvais coups de cette entreprise GDE de ses dirigeants, et des holdings qu’ils dirigent. L’actualité judiciaire évoque ces jours la mise en cause récente de dirigeants mis en examen pour fraude en bande organisée. Nous voulons bien être mis en cause par GDE, nous avons encore quelques pépites à évoquer qui pimenteraient les débats au prétoire ».

« Quant aux demandes d’indemnités, envers les tiers ou l’Etat, évitez d’y joindre au passif l’achat du Golf des Bruyères et des terrains attenants, nous frétillerons d’aise à dénoncer une prise illégale d’intérêts. Cet espace sert de lieu de détente pour Jean-Paul Saison et ses amis, chasse, pêche, déjeuners sur l’herbe au bord de l’étang, soirées entre amis ».

« A bientôt au prétoire »

Pour OREEAT, René HAMEL







Ouest France, le 4 février 2014, Igor BONNET et Jean-Pierre BEUVE.



Des bennes de GDE visées par une enquête

Une information judiciaire pour travail dissimulé et escroquerie a été ouverte en juin au Mans. En cause, les pratiques de la société de recyclage des déchets.

 
Sponsor des équipes de football de Caen et Valenciennes, la société GDE (Guy Dauphin Environnement) jouerait-elle parfois hors jeu sur le terrain de son activité principale qui consiste à recycler les déchets ? La question se pose depuis l'ouverture, en juin dernier au Mans, d'une information judiciaire contre X pour « escroquerie en bande organisée, faux et travail dissimulé ».

Pionnière dans son secteur, dont elle est l'un des leaders dans l'Hexagone, cette entreprise fondée par la famille Dauphin il y a un peu plus d'un siècle compte 80 sites en France, dont une vingtaine dans l'Ouest. Elle emploie un millier de salariés et recycle trois millions de tonnes de déchets par an. L'entreprise, qui fait partie du groupe de droit néerlandais Ecore, est aujourd'hui suspectée d'avoir mis en place un système de sous-facturation des déchets qu'elle réceptionne.
 
En clair, la société pourrait avoir sous-évalué le poids de certaines bennes arrivant sur ses sites. Objectifs possibles : dégager un bonus permettant d'augmenter les marges ou de consentir un rabais lors de la revente de la ferraille retraitée. Quand on revend à Arcelor-Mittal, géant mondial de l'acier, il faut du répondant.

Initiative de directeurs de site ?

En 2008 déjà, des policiers du commissariat du Mans avaient mené une enquête après des révélations d'un salarié du site GDE dans la Sarthe. À cette époque, rien de concluant jusqu'à ce que le dossier ne soit relancé en 2010. Après trois ans d'investigations, l'enquête préliminaire, confiée alors au service régional de police judiciaire (SRPJ) d'Angers, a conduit le parquet du Mans à saisir du dossier un juge d'instruction.

Si l'information en cours venait à confirmer les interrogations initiales au point d'entraîner des mises en examen, qui à ce jour n'ont pas été prononcées, il resterait un point central : ces pratiques relèveraient-elles de la seule initiative de quelques directeurs de site ?

Dans le cadre de l'enquête, des dirigeants fournisseurs ont été entendus : certains ont retiré leur plainte. Le 18 novembre, 14 enquêteurs du SRPJ ont effectué une vaste opération qui a mené, entre autres, à des perquisitions sur le site de Montoir-de-Bretagne (Loire-Atlantique), siège administratif du site sarthois : de nombreux documents et un ordinateur auraient été saisis.

« Une enquête sur le site du Mans est bien en cours mais il n'y a aucune information judiciaire. Vérifiez vos sources », s'est contentée de répondre, mardi après-midi, Corine Buffoni, responsable de la communication GDE qui a refusé de répondre à nos questions.


COMMENTAIRES DE L'OREEAT


Une fois de plus l’actualité met en relief les pratiques de GDE-ECORE-TRAFIGURA et de ses dirigeants. Après les 150 000 tonnes de déchets dangereux balancés dans la nature, la présomption d’innocence peut-elle encore s’appliquer à cette holding si marginale dans ses pratiques :

  • fraude à l’embargo en Irak ;
  • affaire dite des déchets d’Abidjan ;
  • pollution au Pérou ;
  • corruption en Jamaïque, soupçons de corruption en Angola, Nigeria…
  • fraudes massives à la TGAP.

La DREAL Basse-Normandie annonce 33 000 tonnes de déchets, nous en annonçons au moins 150 000 tonnes... Qui dit juste : nous.
  • Pourquoi la DREAL n’enquête pas sur ces 120 000 tonnes à inscrire au passif de GDE-ECORA ? Ces 120.000 tonnes généreraient près de 5 000 000 d’Euro d’amende de fraude à la TGAP.
  • Comment expliquer que la DREAL et les Préfets du Calvados et de l’Orne soient si passifs, voire bienveillants avec GDE-ECORE ?
  • Comment expliquer qu’un ministre BORLOO, un Président de Conseil Général LAMBERT persistent à soutenir cet industriel sulfureux ?
  • Comment expliquer qu’un Tribunal Administratif ait pu donner une autorisation qui n’était pas de sa prérogative à Nonant-le-Pin ?

Que l’Etat, les ministres de la Santé, de la Justice et de l’Environnement continuent à faire l’impasse sur la conduite sulfureuse de cette holding, c’est insupportable.
 

Pour L’OREEAT

Hamel




Mots-clés : , , , , , , , , , , ,

Commentaires

Ancien de gde par ancien gde le Jeudi 06/02/2014 à 18:05

 
Etant un ancien de gde, je peux vous confirmer que ceci n est pas une pratique d un site, il appelle ca le boni, chaque site le pratique car le logiciel affiche le poids et c est l operateur qui rentre les elements dans l ordinateur. Raisons pour lesquelles les chiffres de tonnage sur un site ne sont jamais justes et demande un inventaire tous les mois, inventaire dans lequel apparait le boni, et quand il y a ce boni tout le monde est content!!! 


Re: Ancien de gde par un autre ancien du siège de GDE le Samedi 08/02/2014 à 12:35

Je confirme.
On parle beaucoup du poids de la ferraille sous évaluée...
Mais que dire des DIB ( déchets sans valeurs donc, facturés )dont on modifie le poids à la hausse !!! Et cela pour faire payer plus cher le client.

Cela dure depuis de nombreuses années !

Potentiellement tout les clients de GDE qui ont un jour utilisé un service de benne GDE peuvent avoir été victime de cette escroquerie honteuse !

Les communautés de communes, et les autres clients travaillant avec GDE doivent réclamer leur argent ! Argent volé par GDE !


C'est dit !







Re: Ancien de gde par Hamel le Dimanche 09/02/2014 à 19:01

Message aux anciens de chez GDE,

Sur les courrier, regardez les coordonnées courriel et telephone, n'hésitez pas à nous appeler, discrétion assurée.

Cordialement

Hamel



Actualités : cliquer sur les titres pour afficher l'article