La société GUY DAUPHIN ENVIRONNEMENT, filiale de la holding TRAFIGURA qui est impliqué dans la mort de 10 personnes, et l'intoxication de 40 000 autres à Abidjan, et pour lequel le dirigeant-actionnaire Claude Dauphin est incarcéré à Abidjan, VIENT DE PERDRE UN MARCHE IMPORTANT.
En effet, la société ECOSYSTEMES (http://www.eco-systemes.com) vient de retirer un marché de 47 000 tonnes de déchet d'Equipement Electrique et Electronique (DEEE) à la société Guy Dauphin Environnement filiale de la holding TRAFIGURA.
La raison de cette supression de marché est purement éthique et consécutive aux activités marginales du groupe TRAFIGURA dénoncées en son temps par OREEAT.
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DES NOUVELLES DU PRISONNIER DAUPHIN EN DIRECT DE LA PRISON DE LA MACA A ABIDJAN
Claude Dauphin prend régulièrement, de sa prison des nouvelles des projets Dauphin de Nonant-le-Pin et de Lieusaint.
Réconfortant et galvanisant ses dirigeants, il les rassure sur son état en leur confiant vivre dans un confort satisfaisant.
Il a fait installer la climatisation dans l'aile de sa prison, en faisant aussi bénéficier les locaux des cadres de la maison d'arrêt.
Ne se sentant pas assez incarcéré ou craignant pour sa vie, il a aussi fait placer deux verrous à l'intérieur de sa cellule afin de filtrer les entrées.
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Le 24 octobre 2006
TRAFIGURA POURSUIVIE
Me Bob van der Goen, avocat hollandais annonce qu’il poursuit la Société Trafigura de Claude Dauphin (écroué à la maison d’Arrêt et de Correction d’ Abidjan depuis le 18 septembre), concernant le dépôt de plus de 500 m3 de déchets toxiques à Abidjan le 19 août.
Rappelons que cette pollution a causé la mort de 10 personnes et en a intoxiqué 40 000 autres.
La plainte est déposée par plus de 1 000 ivoiriens (familles de décédés et par des personnes intoxiquées).
L’avocat réclame une provision de 10 millions d’euros à la société franco hollandaise. Il affirme que Dauphin-Trafigura ne pouvait ignorer qu’Abidjan manquait de structure d’accueil et de traitement.
OREEAT a affirmé le 14 septembre que TRAFIGURA affréteur du PROBO KOALA et sa filiale dédiée au courtage PUMA ABIDJAN (qui avait traité le marché Ivoirien) ne pouvaient ignorer le manque de moyens de traitement, le PDG de PUMA Abidjan étant justement Claude DAUPHIN actionnaire et dirigeant de TRAFIGURA.
Claude DAUPHIN-PUMA savait aussi parfaitement que les déchets de Claude DAUPHIN-TRAFIGURA avaient été refoulés d’Amsterdam, car analysés par APS comme trop toxiques pour être traités dans ce port hollandais.
Nous avons demandé au Commissaire Européen chargé des transports maritimes de rechercher les ports de transit des bateaux affrétés par TRAFIGURA depuis au moins deux années.
Pendant ce temps, TRAFIGURA nie toujours toute implication dans cette affaire, elle veut bien participer à la réhabilitation, «par pur humanisme »
Ni coupable, ni responsable, juste victime elle aussi (TRAFIGURA-Claude DAUPHIN aurait porté plaine contre TOMMY, la société qui a répandu les toxiques à Abidjan). Que n’a-t-elle porté plainte de même contre sa filiale PUMA-Claude DAUPHIN , coupable d’avoir passé le marché de l’élimination à TOMMY, société dont elle connaissait l’incompétence?...
Pour le comité de lecture : L’animateur Déchets
UN TRAFIC INTERNATIONNAL DE DECHET : UNE PURE FICTION
Une pure fiction montée par des scénaristes irresponsables et nullissimes.
Proposition de scénario imbécile:
LES FAITS :
La Société GUY DAUPHIN ENVIRONNEMENT via ECORE filiale de TRAFIGURA, développe en Hongrie, Roumanie et Turquie des plateformes de collecte de métaux, de démantèlement d’anciens complexes industriels et de collecte et traitement de déchets divers.
La pression réglementaire en matière d’environnement dans ces pays n’est pas au diapason de celles de l’Allemagne ou de la France.
En leur temps, en France même, d’autres industriels ont su contourner la réglementation (pyralène à Montchanin, etc.), et cela reste encore possible à fortiori dans ce pays.
LA FICTION :
Des déchets toxiques ne venant pas des activités de DAUPHIN – ECORE - TRAFIGURA, auraient été chargés dans les ports de ces pays à l’insu d’ECORE -DAUPHIN, transportés par des bateaux affrétés par Claude DAUPHIN-TRAFIGURA, à l’insu de TRAFIGURA- Claude DAUPHIN.
Ils auraient pris la direction de l’Afrique ou de l’Amérique du Sud, pour livrer, dans des ports « présentant les infrastructures capables de retraiter ces déchets » ou peut être auraient ils été mélangés (par on ne sait qui, on ne sait où, ni quand) à des produits pétroliers livrés dans ces pays…
Ce serait une mauvaise fable sans fondement, un scénario imbécile, même pas digne d’être évoqué, à fortiori tourné. Tant les sociétés du groupe GDE-MALCO-ECORE-TRAFIGURA-PUMA, dirigée par Claude DAUPHIN sont responsables et au dessus de tout soupçon, leur savoir faire étant unanimement reconnu, puissent qu-ils recyclent même les acides des batteries automobiles pour arroser leur magnifique serre tropicale de ROCQUANCOURT.
Pendant ce temps, un « pauvre » innocent Claude Dauphin croupit toujours dans les geôles de la MACA à Abidjan tout pès d'un des sites de déversement de déchets toxiques. Cela depuis 39 longues journées.
Accusé de rien, inculpé de pas grand-chose, de plus, juste dirigeant de sociétés au dessus de tout soupçon. Claude DAUPHIN est titulaire de la légion d’Honneur, c’est vous dire. Même pas responsable, encore moins coupable. Envoyons lui vite des messages de soutien… Au fait, son adresse : en Normandie, en Suisse, en Hollande, en Angleterre ?... On ne sait plus…
Vite, faisons une collecte à JERSEY ou les 200 cadres actionnaires de TRAFIGURA ont leur interêts bien au chaud dans une banque.
Organisons rapidement dans le monde entier, avec l’appui des 55 bureaux de TRAFIGURA, une pétition monstre. Allons porter cette pétition à l’ambassade de Cote d'Ivoire, saisissons la cellule de l'Elysée déjà mobilisée sur son sort, s'il le faut menaçons de l’intervention des troupes françaises, pour qu’il nous revienne vite, tant il doit lui tarder de retrouver sa serre tropicale à défaut de sa terre natale normande.
El peliculo loco …
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NONANT-LE-PIN Un nouveau site dans l'Orne
QUI A DIT NONANT-LE-PIN EST LE TROU DU CUL DU MONDE ?
Didier FOUILLAUD directeur de l'environnement et du développement du groupe DAUPHIN a déclaré devant des élus de Nonant, vouloir créer son site de stockage de RBA (Résidus de Broyage Automobile) et de déchet Industriels banalsau Plessis au fait que "NONANT-LE-PIN ETAIT LE TROU DU CUL DU MONDE".
Le même état d'esprit présidant aux mêmes postures à Nonant comme à Abidjan, l'intérêt financier primant sur toutes autres considérations.
Fort d'une trentaine de sites répartis dans l'Ouest et le Sud-Est de la France, le groupe Guy Dauphin Environnement (GDE) mène un projet visant à implanter un centre de stockage de déchets ultimes et de déchets de broyages automobiles à Nonant-le-Pin. Dans cette perspective, il vient d'acquérir un terrain d'une cinquantaine d'hectares, route de Sées. La capacité d'accueil envisagée est de 100 .000 tonnes / an.
D'autre part la société GDE projette d'implanter dans une ancienne carrière de sable, à Lieusaint près de Valognes, un autre site d'enfouissement de RBA (Refus de Broyage Automobile) et de déchets banals.
Mots-clés : ECOSYSTEME, CLAUDE DAUPHIN, TRAFIGURA, GDE, MACA, ABIDJAN, OREEAT
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