Du journalisme d’amitiés, à l’investigation du lanceur d’alertes
Selon l’Orne Hebdo : Alain Pelleray l’homme providence de l’Orne, ou d’autres verraient « le Janus du département de l’Orne »
Chère Agathe,
Dans notre journal préféré, l’indispensable Orne Hebdo, un portrait pleine première page, et une troisième de couverture entière rédigés par son Rédac-chef, JMF, évoquent le départ en retraite de Monsieur Alain Pelleray, premier « servant-servi » de son tuteur en politique, Alain Lambert le Président en exercice du Conseil Départemental de l’Orne. Ce long publi-reportage brosse un tableau univoque d’un personnage qui mériterait beaucoup mieux en matière d’information des lecteurs de cet hebdo ornais.
Ce document est archivé dans mon ordinateur, comme l’archétype de la « brosse à reluire ». Si, par hasard, mes petits-enfants lisaient un jour cet article en dépouillant mes mémoires, y verraient-ils les velléités et les rancœurs d’un grand-père atrabilaire, ou la preuve que les vérités journalistiques primeront toujours sur les élucubrations d’un vieux fou, lanceur d’alertes.
J’avais cru voir en Alain Pelleray le personnage-type des romans de Balzac : Rastignac. Au fil des romans, on voit ceux-ci, comme ceux-là, profitant de leurs positions successives pour assoir leurs pouvoirs personnels et conforter leurs patrimoines et ceux de leurs proches. JMF fait plutôt d’Alain Pelleray le serviteur affable d’un hobereau politique local et un attaché au bien public. Je doute que notre Rédacteur méconnaisse à ce point Janus-Pelleray, pour l’observateur aiguisé de la vie politique Ornaise qu’il est, ce n’est pas pensable.
Dans cet article destiné à relater la vie « sous le licol », d’un éminent serviteur de son maître à penser Alain Lambert, mon esprit tordu y voit plutôt, comme l’ode à un défunt. Pourtant, notre Alain Pelleray ne meurt pas, même si partir, c’est mourir un peu, enfin, partir... Pas tout à fait…
Soyons rassurés, la nature du cabinet qu’il veut créer le mettra inévitablement en interface des structures nouvelles crées par le Conseil Départemental (Orne Développement, Ingénierie 61), et il retrouvera aussi certains élus encore vivants qu’il « avait mis à sa main » sous ses précédentes fonctions sous le mode : « si tu veux l’enrobé autour de ta salle communale, tu sais quoi faire pour le prochain marché de transfert de ta déchetterie ».
Dans son cabinet FORTIA+ Consulting, son nouveau Walhalla, gageons qu’il continuera à faire ce qu’il a toujours fait dans ses fonctions publiques : du lobbying, parfois à son unique profit. Il aura seulement laissé en route ses véhicules du service, son logement de fonction, et en payant carburants, assurances, entretien et les charges et impôts afférents à ses fonctions devenues officielles… Là, il pourra y monnayer son volumineux carnet d’adresses. Encore employé aux services économiques du Département, il propose déjà à des clients potentiels ses futurs prestations de services à 800 €/jour…
A moins que comme la muleta devant le taureau, JMF n’ait voulu agiter devant le mufle du vieux bœuf Hamel, ce panégyrique éhonté, afin de susciter une dernière charge… Alors, pour lui plaire , encornons, une fois encore…
La SEP de la famille Pelleray fut en partie financée par les fonds revitalisation Moulinex, les fonds FEDER, FEOGA, Fonds régionaux, Départementaux et réserves parlementaires, d’Alain Lambert et d’Yves Deniaud… L’aurais-je rêvé ?
Selon l’Orne Hebdo : Alain Pelleray l’homme providence de l’Orne, ou d’autres verraient « le Janus du département de l’Orne »
Chère Agathe,
Dans notre journal préféré, l’indispensable Orne Hebdo, un portrait pleine première page, et une troisième de couverture entière rédigés par son Rédac-chef, JMF, évoquent le départ en retraite de Monsieur Alain Pelleray, premier « servant-servi » de son tuteur en politique, Alain Lambert le Président en exercice du Conseil Départemental de l’Orne. Ce long publi-reportage brosse un tableau univoque d’un personnage qui mériterait beaucoup mieux en matière d’information des lecteurs de cet hebdo ornais.
Ce document est archivé dans mon ordinateur, comme l’archétype de la « brosse à reluire ». Si, par hasard, mes petits-enfants lisaient un jour cet article en dépouillant mes mémoires, y verraient-ils les velléités et les rancœurs d’un grand-père atrabilaire, ou la preuve que les vérités journalistiques primeront toujours sur les élucubrations d’un vieux fou, lanceur d’alertes.
J’avais cru voir en Alain Pelleray le personnage-type des romans de Balzac : Rastignac. Au fil des romans, on voit ceux-ci, comme ceux-là, profitant de leurs positions successives pour assoir leurs pouvoirs personnels et conforter leurs patrimoines et ceux de leurs proches. JMF fait plutôt d’Alain Pelleray le serviteur affable d’un hobereau politique local et un attaché au bien public. Je doute que notre Rédacteur méconnaisse à ce point Janus-Pelleray, pour l’observateur aiguisé de la vie politique Ornaise qu’il est, ce n’est pas pensable.
Dans cet article destiné à relater la vie « sous le licol », d’un éminent serviteur de son maître à penser Alain Lambert, mon esprit tordu y voit plutôt, comme l’ode à un défunt. Pourtant, notre Alain Pelleray ne meurt pas, même si partir, c’est mourir un peu, enfin, partir... Pas tout à fait…
Soyons rassurés, la nature du cabinet qu’il veut créer le mettra inévitablement en interface des structures nouvelles crées par le Conseil Départemental (Orne Développement, Ingénierie 61), et il retrouvera aussi certains élus encore vivants qu’il « avait mis à sa main » sous ses précédentes fonctions sous le mode : « si tu veux l’enrobé autour de ta salle communale, tu sais quoi faire pour le prochain marché de transfert de ta déchetterie ».
Dans son cabinet FORTIA+ Consulting, son nouveau Walhalla, gageons qu’il continuera à faire ce qu’il a toujours fait dans ses fonctions publiques : du lobbying, parfois à son unique profit. Il aura seulement laissé en route ses véhicules du service, son logement de fonction, et en payant carburants, assurances, entretien et les charges et impôts afférents à ses fonctions devenues officielles… Là, il pourra y monnayer son volumineux carnet d’adresses. Encore employé aux services économiques du Département, il propose déjà à des clients potentiels ses futurs prestations de services à 800 €/jour…
A moins que comme la muleta devant le taureau, JMF n’ait voulu agiter devant le mufle du vieux bœuf Hamel, ce panégyrique éhonté, afin de susciter une dernière charge… Alors, pour lui plaire , encornons, une fois encore…
La SEP de la famille Pelleray fut en partie financée par les fonds revitalisation Moulinex, les fonds FEDER, FEOGA, Fonds régionaux, Départementaux et réserves parlementaires, d’Alain Lambert et d’Yves Deniaud… L’aurais-je rêvé ?
- Les locations avantageuses et les exemptions de charges des anciens locaux FACON aux sociétés des Pelleray, faites par Lambert et Roimier, Alors qu’Alain Pelleray était le directeur de Cabinet de Lambert… Une vue de l’esprit ?
- Les pages de publicités gratuites sur les blogs de Lambert, du CEDO et d’Orne Développement… Un rêve éveillé ?
- Les terrains négociés directement par Alain Pelleray près du maire de Sées et acquis à 0,15 €/m2 (qui valaient 4 € pour les autres potentiels acquéreurs) pour les besoins de la SEP, société de valorisation de déchets appartenant à son fils Thibaut dont Alain Pelleray était actionnaire dès la création. (Il convient de rappeler que le même Alain Pelleray était le directeur de Cabinet du président du Conseil Général de l’Orne, département qui venait d’obtenir la prérogative élaboration du plan de gestion des déchets – avec chantage de blocage des fonds d’équipement de la ville de Sées... Une affabulation… ? Pourtant une confession écrite du Maire de Sées de l’époque en témoigne)…
- Les injonctions du même Pelleray Alain sur le bureau de la directrice de l’environnement de la Préfecture de l’Orne au moment de la création de la SEP par post-it jaune : « pour tout problème, appeler Alain Pelleray au o6……46 »… Une affabulation ?
- Les marchés passés par la Communauté Urbaine d’Alençon (SEP, déchets verts), le Conseil Général (WIFI avec WICONNECTS les sociétés de la Famille Pelleray) sans appel d’offres… Un rêve ?
- L’usage des biens publics du Conseil Général à des fins privées… Une hallucination ?
- Les travaux d’entretien du domicile des sièges des sociétés Pelleray (SEP, SEP VALORISATION) par les agents du conseil général… Un délire visuel ?
- L’aménagement d’un carrefour à feux « intelligents » à la sortie de la SEP sur la D138, conçu par l’urbanisme du département et payés par le même département est-il évoqué par JMF dans l’Orne Hebdo ? Sans vergogne, Alain Pelleray rétorque que cela évitera 7000 kilomètres par an… A qui ? à ses camions et véhicules de service de la SEP…
- Le gardiennage gracieux des activités de la SEP à SEES par la société de gardiennage OMEGA prestataire du Conseil Général, une lubie ?...
- L’enrobé d’une partie de la plateforme de SEP à SEES faite par la société prestataire du Département en matière de travaux routiers sans que l’on puisse mettre la main sur la facture acquittée qui puisse témoigner du paiement…. Une erreur criante de comptabilité ?...
- Enfin, même si la présomption d’innocence doit s’imposer, convient-il de noter que la section financière du Parquet de Paris est saisie du dossier LAMBERT-PELLERAY pour favoritisme et prise illégale d’intérêt (peut-on suggérer que le départ en retraite serait une conséquence de cette mise en cause ?)...
- Les promotions de la SEP avec La demi palette de champagne du Conseil départemental (Aube 2015)… L’expression d’une jalousie acerbe de celui qui n’est pas invité aux agapes ?...
Parmi les hobbys d’Alain Pelleray, outre le sport, JMF a oublié la brocante, achat et vente, le travail du bois et la foresterie (Alain Pelleray a consacré toutes ses économies… à l’achat de terrains, bois et forêts pour assouvir sa passion agraire).
- Enfin, faut-il louer ou blâmer Alain Pelleray pour sa passion ancienne pour la dentelle au point d’Alençon…
- Et puis, convient-il d’évoquer un autre post-it, jaune aussi celui-là, qui mit à mal la stratégie de justification de son Président Lambert (dont il était le directeur de cabinet), celui-ci tentait de se dédouaner de toute implication dans le dossier GDE de Nonant le Pin devant l’assemblée plénière du Conseil Général. Depuis trois année, à ce propos, nous attendons une enquête de police pour faux en écritures publiques que devait demander Lambert… L’enquête patine… On attend...
La conclusion de l’interview d’ALAIN Pelleray est un pur enchantement, JMF lui dit : « il y a des gens qui ne vous aiment pas… », Pelleray paraphrasant Audiard répond : « je ne parle pas aux cons, çà les instruit »…
Pelleray a bien raison, à cause de ses silences, des cons, il a aiguisé l’appétit de savoir et leur perspicacité, les quelques éléments plus haut le démontrent. Gageons que son silence sur les dentelles au point d’Alençon finira bien par agacer aussi une autorité de justice, ou un enquêteur curieux qui lui demanderont des éclaircissements.
Pelleray a bien raison, à cause de ses silences, des cons, il a aiguisé l’appétit de savoir et leur perspicacité, les quelques éléments plus haut le démontrent. Gageons que son silence sur les dentelles au point d’Alençon finira bien par agacer aussi une autorité de justice, ou un enquêteur curieux qui lui demanderont des éclaircissements.
Si notre Alain Pelleray persistait dans son mutisme, que le bras séculier de notre république nous interrogeât sur notre nouveau savoir en matière de point d’Alençon et de dentelles, les parfaits cons que nous revendiquons être, lui retourneraient une autre brillante réflexion du même Audiard dans les mêmes « Tontons flingueurs » : « les Cons, ça ose tout, c’est même à cela qu’on les r’connaît »…
Alors, en cons parfaits ; nous osons….
Alors, en cons parfaits ; nous osons….
Et en qualité de Membre de l’Académie des Cons, je pourrais ajouter deux autres vérités pour ceux qui, comme Alain Pelleray ne voient les cons que chez les autres :
- Ne prenons pas les gens pour des cons, il y a assez de cons qu’on prend pour des gens… (Guy Bedos)
- Je suis un con, mais quand je vois ce que les gens intelligents ont fait du monde… (Georges Wolinski)
Ma chère Agathe, même si cela ne paie pas, des fois ça fait un bien énorme de se soulager… (La formule est à dessein).
René HAMEL
Une histoire de famille par OREEAT… Philippe Bigot, ancien conseiller général, porte-coton de son président Alain Lambert, épistolaire sans talent chargé des rubriques foires et marchés « arrosés » d’un canard local respectable, thuriféraire des industriels voyous, fut recasé il y a peu, au service communication du département de l’Orne, rémunéré avec nos sous. Ce maire de Sainte-Gauburge, non seulement fait construire en zone humide, mais confie la maîtrise à la société qui l’emploie. Le vénérable président du conseil départemental de l’Orne vole à son secours (voir le blog d’Alain Lambert). Une journaliste courageuse qui ne craint pas pour sa carrière allume ce Lambert. On comprendra mieux cette « solidarité », véritable plaidoyer pro domo, lorsqu’on se souviendra qu’Alain Lambert est mis en cause pour favoritisme près de la section financière du parquet de Paris, avec son ancien directeur de cabinet Alain Pelleray, qui l’est aussi mais pour prise illégale d’intérêts. Sans préjuger de la présomption d’innocence, il faut avouer que ce bouquet de printemps illumine notre Avril, mois de l’éclosion des bourgeons… Toujours à Paris, Alain Lambert a porté plainte pour diffamation contre un media régional. A OREEAT, nous tremblons devant la menace de plainte du même Lambert… Poisson d’avril, nous trépignons d’impatience, malgré que beaucoup de méfaits tomberaient sous le coup de la prescription, il reste quelques munitions dans la musette. Comme disait Audiard : « les cons çà ose tout, c’est même à cela qu’on les r’connaît »… Osons. Lisez donc cet article courageux (cliquer dessus pour l'agrandir) René Hamel |
Alain Lambert ou l'art de la vertu outragée
Parangon de justice ou de vertu, pourfendeur des outragés et calomniés, Lambert vole au secours de Bigot
Le droit de réponse de Lambert au Réveil Normand
« Lorsqu’on est mis en cause dans un journal, il est légitime d’utiliser son droit de réponse. Il m’est reproché, avec une inélégance rare, de défendre un maire sur mon blog. De quoi s’agit-il ? Je défends Philippe Bigot, maire de Saint-Gauburge. N’est-ce-pas le premier devoir du Président de l’Association des Maires de l’Orne que je suis ? J’ai la noble tâche de veiller au respect de leur honneur et de leur probité. Je m’y applique scrupuleusement. Le reproche qui lui est fait en l’espèce est d’une banalité confondante : c’est une des plus courantes erreurs commises dans les mairies. Je dénonce les normes et le droit insensé avec lesquels doivent se débattre les maires au quotidien. C’est le cœur des fonctions qui m’ont été confiées par mes Pairs et même par le Gouvernement : je suis juriste, Président du Conseil National des Normes et Médiateur national pour les normes applicables aux collectivités locales. La sévérité que j’exprime à l’égard de la frénésie normative est partagée par les universitaires, les spécialistes du droit des collectivités territoriales. Ironiser sur la flexibilité du droit relève d’une absence abyssale de culture juridique, puisque précisément un travail collectif est actuellement engagé sur les notions de droit dur et de droit souple, pour parvenir à plus de flexibilité du droit s’appliquant aux collectivités locales. S’agissant de la Justice, je ne lui reproche pas de s’occuper des infractions qui peuvent être commises par des élus. C’est son rôle et son premier devoir est de traiter chaque citoyen de façon identique. J’ai parfaitement le droit d’avoir mon idée sur la communication parfois sélective qu’elle peut en faire. Et je rappelle que la présomption d’innocence existe ! On peut aussi s’étonner du discours public adressé aux Maires qui, d’un côté, les encourage à faire preuve d’une très grande vigilance, en signalant, par exemple, toutes les personnes susceptibles de radicalisation dans leur commune et, de l’autre, les harceler de contrôles permanents aussi futiles que tatillons. Ce simple exemple illustre combien l’action publique devient difficile et parfois ingrate. Les élus le savent, leurs familles tout autant, et les citoyens de bonne foi, par exemple engagés dans la vie associative, s’en plaignent. Voilà pourquoi je regrette cette philippique douteuse de la semaine passée […], teintée de populisme des années 1930, et truffée de clichés éculés contre les élus. La transparence des relations des élus avec la Justice est totale. Elle ne l’est pas autant s’agissant de la presse. Trois journalistes sont actuellement mis en examen, renvoyés en correctionnelle pour diffamation envers une personne chargée d’un mandat public. L’article ne l’évoque pas. Il est vrai que son objectivité ne brûlait pas les yeux. » Alain Lambert |
Le décodage par OREEAT Comme à chaque fois qu’il est mis en cause, ou qu’un ses affidés l’est, notre honorable Président du Conseil Départemental de l’Orne, Alain Lambert, manie l’écran de fumée… Sur son blog, le 30 mars, Alain Lambert, président du Conseil Départemental, monte au front pour sauver son employé et ami Philippe Bigot le Maire de Sainte-Gauburge. Cet élu s’était un peu pris les pieds dans ses nombreuses casquettes (sic, pas facile à faire…). Mis justement en cause dans le Réveil Normand du mercredi 6 avril 2016 pour ce soutien inconditionnel à Bigot, (surprenant pour le juriste qu’il répète à l’envi, être…) notre vénérable Président nous prendrait-il encore une fois pour des cons ? Exigeant près du journal un droit de réponse, Alain Lambert en parfait jésuite, nous enfume une fois encore. Nous allons offrir aux lecteurs le décodage qui sied à ce « droit de réponse » (voir en fin d’article). Nous savons les lecteurs avertis, ils ne seront pas l’imbécile de la maxime attribuée à Confucius : « Le Sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt »
Un bref rappel des fonctions de Bigot au moment des faits :
Le rappel des faits : Philippe Bigot Maire de Sainte-Gauburge envisage de construire sur sa commune, en zone humide, des logements. Il échafaude un scénario qu’il propose aux structures qu’il dirige :
Le Conseil Municipal vote un accord de principe de vente à la SAGIM pour 1 € des terrains nécessaires.
Enfin, il précise que « dans le cadre de ses compétences, c’est à la Communauté de communes (CdC) de la vallée de la Risle [devenu depuis CdC des vallées du Merlerault] qu’il appartiendra ensuite de se prononcer pour approuver ce programme [...] et accepter de prendre en charge la maîtrise d’ouvrage des travaux de VRD [voirie réseaux divers] et leur financement (avec le concours financier de l’Etat) ainsi que d’accepter de garantir à hauteur de 50 % les emprunts contractés par la SAGIM pour le financement de ce programme. » Vote unanime pour, (Bigot Maire inclus).
Tous ces faits sont a contrario des lois :
Bigot étant employé de la SAGIM, il pourrait trouver un intérêt indirect (prime ou augmentation de salaire), liées à la performance de l’entreprise dont il est l’employé. S’il est rémunéré, ou reçoit des indemnités au titre de ses fonctions comme vice-président de SICA NORMANDIE ARCHITECTURE, HABITAT, le risque est le même. Après avoir pris la défense de BIGOT sur son blog, Lambert met en cause la journaliste rédactrice de l’excellent article, parfaitement documenté du réveil Normand.
Nos élites sont un peu sur les charbons ardents par les temps qui courent. Le Rédacteur : René Hamel
PS : Rappelons qu’actuellement, Bigot est encore maire de Sainte-Gauburge-Sainte-Colombe (4ème mandat), salarié de la SAGIM (responsable de l’antenne de L’Aigle), vice-président et administrateur de SICA Normandie Architecture-Habitat et salarié au service communication du Conseil Départemental de l’Orne, il n’est plus conseiller départemental. La journaliste du Réveil Normand a réalisé un document magistral que vous pouvez consulter plus haut dans cet article ou sur internet. |
Mots-clés : Alain Pelleray, Orne Hebdo, Agathe, Orne, Conseil Général de l'Orne, Conseil Départemental de l'Orne, Alain Lambert, SEP, Wiconnect, dentelle d'Alençon, marchés publics, Philippe Bigot, SAGIM, SICA Normandie
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